Ce court article vient en complément de l'article du 20 février dernier écrit suite à une visite sur le terrain alors que le niveau d'eau dans la Punaruu était encore haut après les pluies du matin et de la nuit.
Les photographies qui illustrent ce nouvel article ont été prises quatre jours plus tard alors que le niveau d'eau dans la Punaruu était plus bas.
Elles illustrent de façon incontestable la fragilité des berges de la Punaruu dans la traversée de la zone industrielle et donc l'irresponsabilité du maintien de l'autorisation d'extraction de 8500m3 dans le lit de la Punaruu en amont de la Route de ceinture (5000m3 pour CONCAPOL, arrêté N°591 du 31/01/2017 et 3500m3 pour Tahiti Agregats SA, arrêté N°1082 du 23/02/2017).
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